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Patler art

Visage christique, 2000

Tilleul

Dim. : 53 x 25 x 25 cm   Poids : 14,4 Kg (avec socle)

 Première sculpture travaillée uniquement au ciseau à bois dans laquelle apparaît déjà le respect des éléments naturels de la pièce de bois alors qu’ici la forme est dessinée et non pas inspirée de l’aspect initial.

Une immense tristesse se dégage de ce visage laissant pour certains ressentir un malaise d’oser déranger un regard aussi perdu dans ses pensées…


Support par axe d’acier planté dans un marbre piqueté.

Le chat qui lèche sa patte, 2000

Tilleul

Dim. : 44 x 37 x 35 cm    Poids : 7,7 Kg


Faisant partie des premières sculptures, on retrouve le travail au ciseau à bois dans la robe du chat et le respect de l’aspect naturel de la pièce de bois (dos) .



Regard nocturne, 2001

Fruitier

Dim. : 65 x 25 x 22 cm     Poids : 6,5 kg


Pièce de bois travaillée au ciseau uniquement, évoquant un rapace posé dont l’absence de formalisation oculaire laisse évoquer le vide, le calme…la nuit.


Les plumes ventrales sont stigmatisées par les coups de ciseau contrastant avec un aspect plus lisse du dos et des ailes.

L'arbre à trompettes, 2003

Collection privée

Cerisier fruit

Dim. : 120 x 84 x 50 cm       Poids : 30 Kg


« Mobilier Musical », cet Arbre à Trompettes est travaillé dans un cerisier à fruits de Illies (59).


D’inspiration pseudo-cubiste, cette réalisation a été conçue dans un réel but utile pour une famille de trompettistes dont l’extrémité de chaque branche s’inspire des supports instruments d’orchestre avec une adaptation de chaque cône à l’instrument (trompette Picollo, bugle…) et l’insertion d’un pupitre en son cœur.

La femme au chignon, 2004

Bouleau

Dim. : 120 x 70 x 45 cm


Issue d’une pièce de bouleau de la Bassée (59), avec souche, tronc et départ de branches.

La souche est travaillée afin de donner un aspect vestimentaire couvrant les jambes. Le tronc permet de figurer le corps et le départ des deux branches, les deux bras positionnés de façon non académique mais évoquant le nouage de chignon.

L’aspect « bois blanc » du bouleau est respecté par l’absence d’adjonction de teinte donnant par sa blancheur un sentiment de jeunesse et de pureté d’une jeune fille surprise dans un mouvement aussi banal…

Girafon, 2004

Collection privée

Noyer

Dim. : 88 x 34 x 40 cm


Le girafon, inspiré de la forme allongée de la pièce de bois après la coupe, s’est matérialisé dans un dessin stylisé.


Les nervures tourmentées sont volontairement mises en évidence, témoins des différents démarrages de branches et laissant deviner un contraste entre l’élégance et la sérénité du girafon et la tourmente naturelle de la structure du bois.

Schizoïdie, 2005

Sculpture sur souche - Chêne de Carvin (62)

Dim. : 60 x 75 x 80 cm

Socle : marbre recouvert d'un parement bois blanc

 



 

 

Le travail de l’aspect échevelé a été plus difficile, justifiant de préserver certaines racines ou d’en supprimer d’autres pour accentuer l’aspect « fou » du visage volontairement stigmatisé et réduit à sa plus simple expression figurative, pour laisser à l’œuvre une dimension abstraite, réflective et énigmatique, qui correspond au monde de la psychiatrie.

 

 

L’inspiration de cette sculpture s’est très vite déterminée de par sa forme initiale et sa faille centrale vers la schizophrénie.

 


Exposée en décembre 2008 au CHRU de Lille pour le Jubilé du cinquantenaire du rapprochement entre l'Hôpital et l'Université.

Cédrine bleue, 2006

Collection privée

Cèdre bleu

Dim. : 50 X 100 X 42 cm     Poids : 20 Kg


Cette sculpture stylisée de femme nue tendant son bras droit comme une invitation à la rejoindre dans cette position lascive est travaillée dans un tronc de cèdre bleu de Violaines (62) de 30 ans.




Ce résineux laisse apparaître de belles couleurs rougeâtres naturelles respectées par la finition en teinte neutre ainsi que les nervures de ce type d’essence.


L’aspect sensuel lui avait valu le titre de « Caressez-moi » lors de l’exposition Asclépiordre du Conseil de l’Ordre des Médecins du Nord en 2007.



Eléphantorynque, 2006

Noyer

Dim. : 85 x 38 x 63 cm     Poids : 32,5 Kg

Noyer de Cuinchy (62)  dont une branche a été utilisée pour mettre en forme cette « bête » évoquant un hybride d’éléphant et d’ornithorynque….


Finition non teintée et vernis satin.

Délire onirique, 2007

Cerisier fleur de Salomé (59)

Dim. : 50 x 70 x 25 cm   -  Socle : 108 x 16 x 16 cm (Pin teint en blanc)

 

Pour cette œuvre, le travail de la souche, qui cette fois se présente par le dessous de la base du tronc, est basé sur le "délire " et le "rêve" que les formes poncées et sculptées ont laissé progressivement apparaître pour s'orienter vers un "bestiaire" d'animaux bondissant laissant découvrir une tendance rupestre ou un mélange de corps entrelacés .

 

Le plus intéressant dans cette œuvre est l'appropriation que peut s'en faire l'observateur et qui, malgré un figuratisme de la matière, laisse la possibilité pour ce dernier de s'échapper dans le monde abstrait du rêve ou dans sa complexité. de la  psyché......

Exposée en décembre 2008 au CHRU de Lille pour le  Jubilé du cinquantenaire du rapprochement entre l'Hôpital et l'Université.

Gueule d'horreur, 2008

Noyer

Dim. : 147 x 60 x 70 cm

 

Nous sommes en présence d’une pièce complexe tant dans son expression que dans sa conception technique puisqu’il s’agit d’un tryptique de noyer de Cuinchy (59). Provenant de différents morceaux de tronc, ils s’emboîtent afin de mettre en avant l’aspect cicatriciel des branches coupées s’exprimant sous forme de « lèvres » dont l’aspect naturel est volontairement préservé.


Le ponçage fini lui donne cet aspect de meuble lustré avec une base de teinte de noyer chêne moyen.Chacun des trois éléments est chevillé à sa base afin de donner une stabilité à l’œuvre et son aspect monolithique.Un dégauchissage minutieux permet aux pièces de se superposer idéalement.

Je remercie Philippe Blanquart, ébéniste Basséen, pour ses conseils techniques.

Penseur apocalyptique, 2008

Collection privée

Aubépine

Dim. : 65 x 50 x 50 cm

 

Issue d’une souche d’aubépine centenaire, bois particulièrement ligneux donnant un touché d’ivoire avec un ponçage aux grains très fin et laine de verre, l’aspect bicolore est recherché afin de donner plus de contraste entre la vie (claire et lisse) et l’aspect « brûlé » (brunâtre et rugueux) amenant à évoquer l’apocalypse.


Par ailleurs, cette forme pseudo-humaine avec la tête penchée latéralement sur l’épaule laisse évoquer la réflexion, la pensée d’où son titre : « le penseur apocalytique ».


A signaler que cette sculpture peut être présentée dans différentes positions.

Mon p'tit coeur, 2009

Collection privée

 Aubépine


 


 

 

Lampe coralliforme, 2009

Marronnier

Dim. : 140 x 75 x 75 cm


Cette sculpture de type mobilier décoratif lumineux s’inspire à nouveau de la forme initiale de la pièce de marronnier avec ces renflements et ces cicatrisations de branches élaguées qui donneront une fois sculptées et poncées l’aspect corail recherché.


La prouesse de cette œuvre réside dans l’électrification de douze bourrelets coralliformes contenant chacun une led reliée à deux transformateurs implantés dans la base creusée du lampadaire.


Un grand merci à Denis Watteeuw pour sa collaboration technique.

 

A crocs et à cris, 2010

 

Collection privée

Marronnier

Dim. : 117 x 55 x 50 cm


S’inspirant de la forme naturelle de l’arbre après sa coupe, une forme de « dragon » s’en dégage justifiant la sculpture de la tête mais avec un respect de l’aspect verruqueux et hérissé de certaines parties du bois provenant des nombreuses tailles annuelles successives des branches. Ce bois issu d’un marronnier du cimetière de la Bassée (59) justifie un travail laborieux d’extraction des parties « pourries ».


Enfin un travail de finition par ponçage et teinte (ici rouge rappelant l’aspect des bois exotiques africains : l’Okoumé) donne un aspect un peu chinois à l’œuvre.

La larme du Samoan, 2010

Poirier

Dim. : 130 x 95 x 75 cm


Pièce majeure de par sa taille et le travail imposé par l’aspect échevelé de ce visage d’homme du Pacifique.

Par ailleurs, sculptée dans une souche de poirier cinquantenaire de Libercourt (62), cette essence est travaillée de manière à laisser l’aspect naturel du tronc (col) avec différentes techniques de ponçage entre le visage et la chevelure.

La teinte naturelle du bois est respectée avec une finition en teinte neutre qui laisse apparaître la couleur « orangée » naturelle du bois.

La « larme », qui donne le titre à l’œuvre, n’est qu’une imperfection naturelle de l’arbre. Elle n’impose pas une ambiance de tristesse mais de sérénité affectée.

Boa Hathor, 2010

 

Pommier

Dim. : 105 x 105 x 130 cm         Poids : 65 Kg


Oeuvre curieuse qui s’inspire d’une souche de pommier de Libercourt laissant en place trois racines majeures qui donneront place aux cornes et à l’aspect élancé du serpent s’enroulant autour de la tête de cette bête à corne imaginaire hybride « équin bovin » proche d’un Markhor.


La difficulté de l’œuvre a consisté au dégagement du corps du serpent dans la partie centrale où le bois très dense et ligneux s’enroule tout autour de la tête.

Finition en teinte neutre laissant apparaître les veines centrales plus brunâtres du cœur de l’arbre.

Le poids de l’œuvre (65 kilos) laisse imaginer le densité du bois et sa dureté sous le ciseau.

Lézardesque, 2010

Marronnier

Dim. : 50 x 150 x 55 cm

 

Cette sculpture en marronnier fait partie de la série « bestiaire » (Tourmente ursidée, à crocs et à cris).

 

Le principe est respecté avec l’utilisation de la forme initiale qui oriente le thème, le travail de mise en valeur des formes expressives naturelles du bois et la finition notamment de la tête et du dos avec ponçage.


Dans cette œuvre, on peut constater l’aspect « confouré » de ce type de bois mais qui ne gêne en rien le rendu final.

Tourmente ursidée, 2010

Marronnier

Dim. : 75 x 120 x 55 cm

 

Exemple type de l’utilisation de la forme et de l’aspect initiaux de la pièce de bois après coupage qui laisse d’emblée évoquer un mammifère quadrupède.


Il y a une recherche de contraste entre le travail naturel du bois (suite à l’élagage des repousses annuelles) qui se caractérise par cette aspect rocailleux et tourmenté du corps, et l’aspect sculpté et lissé de la tête d’un « chien-ours »


La finition teinte « chêne moyen » permet de mettre encore plus en évidence les reliefs tourmentés de cette robe animale.

Plat de fruits, 2010

Imagination rupestre, 2010

Racine de noistier

Dim. : 57 x 77 x 20 cm

Socle: 25 x 70 cm, Niangon exotique non teinté et vernis satin.


 

A l’instar des bois flottés, cette réalisation s’inspire d’une racine (noistier) de la forêt du château de Villancourt (62).

Son aspect s’oriente vers un animal comme ceux ébauchés dans les cavernes préhistoriques d’où son titre.


Le travail de ponçage renforce cet aspect rupestre. Une finition, non teintée, exprime un aspect épuré.



 

Wood's neurofibromatose, 2010

Marronnier

Dim. : 72 x 40 x 40 cm


 


Cette œuvre n’est que la résultante surprenante des cicatrisations naturelles de l’intérieur d’un tronc de marronnier blessé et soigné à coup de « rebouchages » au béton et briques dont il est possible de retrouver des stigmates vol ontairement laissés tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.


Les renflements cicatriciels sont respectés en l’état et laissent évoquer un « Elephant man » en bois, d’où son titre.


L’enveloppe brunie à l’intérieur est travaillée comme une ombre de cette chéloïde avec l’œil, témoin de la main et du regard de l’homme sur les conséquences de ses soins (peu appropriés) .

 

Cette « Wood’s neurofibromatose » est un hommage à la nature capable d’être une œuvre à part entière malgré les interventions humaines ….


Nébuleuse arachnoïde, 2010

Cerisier 

Dim. : 79 x 103 x 50 cm

Travaillée à partir d’une souche de cerisier cinquantenaire de Libercourt (62).

 

Travaillée à partir d’une souche de cerisier cinquantenaire de Libercourt (62). Le nettoyage et l’élagage des racines abîmées ont permis de dégager cet aspect en araignée ou en fleur d’orchidée voire en étoile lui profilant son titre de « Nébuleuse arachnoïde ».


Le travail de sculpture a ensuite consisté à faire apparaître un centre, un cœur, une tête lui donnant ainsi une vie imaginaire.

 

Sa finition en ponçage fin a permis de laisser l’œuvre dans son aspect brut sans aucune teinte.


Porte-crayons, 2010

Collection privée